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Implants de pommettes

Implants de pommettes

Avoir des pommettes saillantes donne un coté jeune et frais au visage.
Un détail peut transformer un visage plat en un visage dynamique et plus en relief. Les adeptes de maquillage l’ont compris et jouent avec des effets « trompe l’œil » d’ombres et de lumières et des kits de contouring pour donner l’impression d’avoir des lèvres plus pulpeuses, des pommettes plus saillantes, accentuer le creux de la paupière.

Mais, on n’est pas toutes artistes du pinceau et du fond de teint, d’autant plus que l’on peut se simplifier la vie et avoir des résultats plus stables et plus durables, dans le temps, que le résultat éphémère et surtout, artificiel d’un contouring.

Seule la chirurgie esthétique peut donner des pommettes rehaussées, durablement. Certes, la médecine esthétique offre aussi d’autres options, tout aussi bonnes, mais qui ne sont pas aussi définitives et surtout, qu’il faudra entretenir, en renouvelant les soins, systématiquement. Les renouvellements impliquent un coût, à la longue.

L’implantation des prothèses des pommettes est recommandée, pour les jeunes femmes dont la morphologie du visage manque, initialement, de reliefs et leur donne un profil assez plat. Ces patientes présentent un manque de graisse au niveau des pommettes, d’autres présentent une insuffisance du volume de l’os malaire, suite à un problème de développement. Les causes diffèrent, mais le résultat est le même: un visage qui semble être fatigué et triste. Rehausser les pommettes avec des implants transforme le visage et lui procure un effet « bonne mine ».
Pour d’autres patientes, les joues s’affaissent avec le temps. Le vieillissement cause la fonte de la graisse et a tendance à creuser les pommettes, entre autres.
Que l’on soit jeune ou un peu moins jeune, le rehaussement des pommettes par implants est la solution idéale et durable pour retrouver des joues rebondies, synonyme de forme et de joie de vivre.

Pour préparer l’intervention, une étude osseuse du visage se fait, lors d’une consultation au préalable, qui permet de choisir le bon volume et la bonne taille de l’implant qui préserve l’harmonie des traits et les embellit.

Le risque infectieux étant non négligeable, un bilan dentaire est aussi établi. Car, lors de l’intervention, l’incision se fait à travers la bouche, pour atteindre la zone des pommettes et pouvoir y implanter les prothèses malaires, au ras de l’os. L’incision dans la bouche permet de ne pas prendre de risque de toucher le nerf facial. Cette opération demande de la prédiction et de l’expérience, pour ne pas affecter la sensibilité de toute la zone de la moitié du nez, moitié de la lèvre supérieure et de la joue opérée. L’intervention dure une heure et faite le plus souvent sous anesthésie générale. Le résultat est immédiat et définitif. Un petit œdème peut apparaître ainsi que quelques bleus qui disparaîtront, au bout de quelques jours. Il est recommandé d’appliquer de la glace sur les pommettes, pour éviter le gonflement postopératoire et de dormir sur le dos, pendant les trois premières semaines après l’intervention, pour éviter que l’implant ne se déplace. Ce qui n’arrive que dans des cas rares. Il en est de même pour les infections qui nécessitent le retrait de l’implant. L’implantation des prothèses malaires, mammaires ou fessiers, est une opération courante et suivie en postopératoire. Les risques sont minimes.

Les pommettes occupant une large partie du visage, permettent aux patientes de retrouver pleinement ou gagner en expressivité et en beauté.

Phase de récupération et précautions à prendre

Concernant la récupération postopératoire, il est normal de ressentir un léger œdème et des ecchymoses autour de la zone traitée. Ces symptômes sont généralement temporaires et tendent à disparaître rapidement au cours des premiers jours suivant l’intervention. Cependant, il est recommandé aux patients de suivre attentivement les instructions postopératoires fournies par leur chirurgien pour favoriser une guérison optimale. Cela peut inclure des conseils sur la manière de réduire l’inconfort, de prendre des médicaments prescrits et de pratiquer des soins locaux pour minimiser l’enflure et les ecchymoses.

En outre, il est conseillé d’éviter les activités physiques intenses pendant les premières semaines suivant l’intervention afin de permettre aux tissus de récupérer et de se régénérer correctement. Les mouvements brusques ou les exercices qui sollicitent excessivement la zone des pommettes doivent être évités pour prévenir tout traumatisme ou complication éventuelle. En suivant ces recommandations, les patients peuvent s’assurer que leur processus de guérison se déroule sans heurts et qu’ils peuvent profiter pleinement des résultats durables et satisfaisants de leur chirurgie de rehaussement des pommettes.

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